vendredi 25 octobre 2013 - par dgomez

Nicolas Doze : La politique de l’emploi, c’est bien d’en parler, c’est mieux de le faire - 25/10

Le 25 octobre, Nicolas Doze s'est penché sur la décélération du chômage en France, sur BFM Business.

Chaque matin, dans Good Morning Business, Nicolas Doze débriefe l'actualité sur BFMBusiness, première chaîne d'informations économiques en France.
Retrouvez toute l'actualité économique et financière sur BFMBusiness.com.
Pour ne rien manquer de nos vidéos, rendez-vous sur : http://www.bfmtv.com/video/bfmbusiness/

 



7 réactions


  • démosthène 25 octobre 2013 13:34

     
    Alors commençons par répéter, en le laissant le faire lui-même, ce qu’est doze :
    http://www.youtube.com/watch?v=SX111t0tvnk
     
    Ça, c’est fait...
     
    Maintenant, que dit-il, le doze ?
     
    ’ Qu’on a un stock ’...
     
    Si si, un ’ stock ’ de gens qui touchent des indemnités ( autrement ’ ressentit ’ par doze comme étant une charge sans revenus... ) sans rapporter quoi que ce soit à l’ EMPLOYEUR.
     
    Bon, jusque là, rien de nouveau sous le soleil du patronat.
     
    Il rêve d’un ministre qui saccagerait toute protection salariale, qui détruirait toute législation du travail salarial...
     
    Et vous, vous en rêvez, de ça ?
     
    Non ?
     
    Alors boycottez ces empafeurs qui vous prennent pour des idiots, et n’hésitez pas à le leur dire, les moyens pour ce faire sont nombreux...
     


  • zeitgest zeitgest 25 octobre 2013 13:50

    Il n’y aura plus jamais d’emploi comme auparavant. C’est mort ! Le chômage est une conséquence de la surpopulation, du gaspillage des ressources, du système monétaire prédateur. Il faut urgemment que nous réinventions un autre système de valeur basé sur l’idée simple d’une population qui vit sur une île et qui a, de fait, des ressources limitées. Avons-nous intérêt à gaspiller ses ressources, ou au pire, à s’en approprier individuellement la propriété au risque de nous bouffer entre nous ? La technologie et l’intelligence nous permettrait de ne pas tomber dans ce piège auquel nous sommes confronté aujourd’hui. Un travail bénéfique au bien commun est plus gratifiant que celui qui va dans le sens de l’intérêt général qui ne satisfait que des intérêts privés au final. Mais ça les politiques n’en veulent pas. Ils ont trop à perdre…


  • Muslim 25 octobre 2013 14:22

    "A l’allemande."


  • realTMX 25 octobre 2013 15:34

    Le chômage est une des conséquences de la politique de l’union européenne et plus généralement de la mondialisation.

    Tant que l’on ne mettra pas en place une politique anti-délocalisation et une protection contre les produits chinois merdiques et pas chers, on ne s’en sortira pas.


  • chtouille 25 octobre 2013 16:21

    yfo pas trop d’entrave à la création d’emploi
    yfo équilibre entre ce que les gens veulent consommer et peuvent produire
    yfo que les rémunérations et les prix de vente soient justes
    yfo limiter la captation des richesses, pasque quand meme l’argent sert à consommer ce qu’on produit
    yfo une bonne technologisation pour des bons rendements qui permettent de produire plus avec moins de travail çà donne du confort de vie.
    yfo de l’énergie bon marché pour faire tourner la technologie et augmenter le confort de vie. on pourrait tous avoir une ferrari un jour, comme dans le temps avoir la télé un frigo était un luxe.
    yfo bonne formation des gens pour conduire la technologisation


  • chtouille 25 octobre 2013 16:27

    yfo pas trop de services quand meme, parce que pendant que bernard et justine s’échangent perpétuellement coupe de cheveux contre massage, ils consomment de la nourriture de l’énergie des objets, que leur activité ne remplace pas.


  • Stof Stof 26 octobre 2013 14:00

    Donc si je comprend bien : les patrons n’embauchent pas et c’est la faute des chômeurs.
    Si on leur sucrait leurs allocations chômage et le SMIC, ils travailleraient gratuitement pour un quignon de pain.
    On pourrait les embaucher comme démarcheurs au porte à porte, travaillant de l’aube au crépuscule, essayant de vendre un de ces produits fabriqués par quelques esclaves sous-payés.
    Sauf qu’au bout d’un moment, avec quel argent la masse d’esclave va t’elle acheter toutes leurs conneries ? Ce ne sont pas les 1% de millionaires qui font tourner la machine.


Réagir