Nationaliser
Ségolène Royal, comme tout le long de la campagne 2007, était majoritaire en mai 2011 chez ceux qui sont sûrs de voter. Depuis elle fait meeting sur meeting, débat participatif sur débat participatif afin de rencontrer les français.
9 réactions
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Arsene Icke
22 septembre 2011 11:31
Et bien quand on voit avec quel sérieux son gérés les États [ils sont tous en faillite !] il vaut clairement mieux que les entreprises et les banques restent privées !
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Arsene Icke
22 septembre 2011 11:45
Si les banques sont nationalisées et bien l’actionnaire c’est l’État, donc toi [en principe]. Mais je te rassure tu ne toucheras jamais les profits
J’imagine Sego en Directrice Générale de la BNP ... p’tain ca craint ! LOL -
davideduardo
22 septembre 2011 16:36
oui, actuellement "nationaliser" dans la bouche des politiques sonne faux. J en ai entendu dire : "nationaliser durant un temps", comprenez : "privatiser les profits et nationaliser les pertes."
Quoiqu il en soit pour repondre a votre afirmation, il peuvent tres bien nationnaliser , mais décider de ne pas rembourser tout le monde.En général, les gros épargnants sont informés par leur banquier dans quels produits financiers sont investis leur épargne et ils touchent d ailleurs des pourcentages personalisés. Ayant laisser jouer leur argent en toute connaissance de cause ils n ont pas a etre remboursés.Seul les petits épargnants qui n ont rien demandés doivent etre remboursés. -
matthius
22 septembre 2011 18:29
Ensuite tout cela permet les grands travaux : Plus de 50 Milliards d’euros économisés en redevenant indépendant des banques. Les prêts seront de nouveau accordés avec une banque d’investissement. Sachez que c’est Ségolène au PS qui était la première à proposer cela, en plus d’un retour de la démocratie.
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ffi
23 septembre 2011 19:00
@matthius,
l’écologie politique souffre d’un petit problème de logique.
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Elle part du principe, et c’est vrai, que l’environnement est traversée par des énergies diffusent.
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Mais elle veut croire qu’il suffit donc de multiplier les captages dans l’environnement pour avoir une énergie gratuite.
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Or, l’énergie diffuse dans l’environnement est, en chaque lieu en quantité infime.
Par conséquent, pour capter ces quantités infinitésimales, il faut multiplier à l’infini les infrastructures de captage.
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Ce qui nécessite en fait un colossal travail préalable, d’où un investissement gigantesque, et ce qui fera de plus exploser les coûts de maintenance à terme, car, contrairement à l’énergie, la construction des infrastructures et leur maintenance ne sont pas gratuite.
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Au final, à cause de cette faille logique de l’écologie politique, le "modèle écologique" est anti-écologique.
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Une politique écologique doit suivre le principe de moindre action.
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ffi
22 septembre 2011 16:51
La nationalisation des dettes ?
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Le Crédit Agricole, c’est 1600 milliards de prêts pour 50 millions de capital... Si il y a défauts de remboursements en série, c’est l’équivalent du déficit de l’état qui y passe.
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Pour les grandes banques françaises, il s’agit de 8000 milliards au total... plus de 4 fois le déficit de l’état.
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Tout cela ne m’a pas l’air très clair.
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Personnellement, je ne me sens pas trop compétent dans le domaine, pas plus que l’ensemble des français. Je me demande quel sens cela a de demander l’avis des citoyens sur ces questions. A quel Saint nous vouer ? Pour quel élu voter ? Ils nous ont tous déjà tellement trahis...
