lundi 14 octobre 2013 - par dgomez

Jacques Sapir : PSA - dépenses publiques - défaut de paiement US, dans Les experts - 14/10

Le 14 octobre, Jacques Sapir est intervenu sur PSA, les dépenses publiques, l’éventuel défaut de paiement US dans Les experts présentés par Nicolas Doze, sur BFM Business.

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6 réactions

  • tokepiks 14 octobre 2013 17:56

    Les Américains et les Chinois rachettent PSA .
    La presse fait passer ce rachat pour une coopération profitable au groupe dans le but de vendre des produits PSA dans d’autres pays .

    Vendre presque 50% d’une société à d’autres pays (c’est l’état chinois et l’etat américain qui achètent,pas des privés) n’est pas comparable avec un accord commercial !

    Ainsi , les décisions à venir prises par les nouveaux dirigeants de PSA iront dans le sens du profit des actionnaires étrangers proportionnellement au capital possédé par ceux-ci .

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  • ghola ghola 14 octobre 2013 19:29

    interessantes previsions sur les consequnces du shut down aux USA.

    il prevoit donc une augmentation des taux d’interets tres prochainement la bas ce qui devrait avoir lieu chez nous aussi ... ca va laminer toute une partie de la population qui vit au dessus de ses moyens ou juste au raz du budget.
    aura t on logiquement un effondrement des valeurs immobilieres tres prochainement ??

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  • Ketsa 15 octobre 2013 10:25

    Lausanne et Montreux c’est pas le "Jura Suisse".
    C’est plutot l’arc lémanique.

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  • Gollum Gollum 15 octobre 2013 10:41

    Bref on est au bord du déclin économique quelque soit le scénario...


    En voilà une bonne nouvelle. 

    Bon je signale que le traitement du défaut US se trouve dans les deux dernières minutes (pour les pressés..)
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  • louisperetz 15 octobre 2013 18:22

    On est toujours dans l’illogisme néolibéral. la seule logique profonde est celle de Keynes. Evidemment contraire à la priorité donnée aux entreprises : il faut commencer par relancer l’activité donc la consommation (biens durables et semi-durables compris)

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  • rgbfr rgbfr 15 octobre 2013 21:02

    Et le pire dans tout ça, c’est que la croissance n’est même pas une solution pérenne.. mais bon je pense quand même qu’il faut en passer par là.
    Pari risquez vous dîtes ?

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