vendredi 3 mai 2013 - par maQiavel

De la révolution industrielle à nos jours : Entretien avec Michel Beaud

 

Dans ce second entretien, Michel Beaud raconte quelles ont été les causes et les conséquences de la révolution industrielle à partir du XVIIIe siècle, d’abord en Angleterre, puis en Europe continentale et aux Etats-Unis. 
Il nous explique en outre comment le mouvement ouvrier a pu monter en puissance pendant cette période, et nous montre enfin quels sont les grands défis qui attendent le capitalisme à l’avenir.

 

Source : Avant-Garde Economique



5 réactions


  • daniel paul 3 mai 2013 15:08

     le défit du capitalisme va être de survivre à son impossibilité de continuer a leurrer la planète .....point barre..

    la démographie ne permets plus l’expansion infinie...l’argent ou les humains , l’un va disparaitre..


    • maQiavel machiavel1983 3 mai 2013 15:25

      l’argent ou les humains , l’un va disparaitre..

      Vu comment les choses évoluent, ça risque d’être l’homme qui va disparaître.

      Ça parait absurde puisque la disparition de l’homme devrait entraîner de facto la disparition du capitalisme (enfin j’espère smiley), mais la dynamique de ce système tends à l’élimination du facteur humain. C’est comme les virus qui se répliquent infiniment même si cela entraîne la mort de l’organisme qu’ils infectent et leurs propres disparitions, ça ne les empêche pas de se multiplier.

      Je crois que pour le capitalisme c’est la même chose : coûte que coûte, le capital doit grandir ... même si l’espèce humaine doit disparaitre !



    • O Scugnizzo O Scugnizzo 3 mai 2013 16:42

      Et le plus cynique c’est que tout ce processus se fera au nom de la science, comme légitimation de l’autorité : science économique, sciences sociales, science biologique, véhiculé par une brochette de salauds, appelés également experts. Cette même science, qui devait nous sortir enfin de l’ombre, nous expose dans les faits, comme dirait Bernanos, au Soleil de Satan.


  • Turmenic Turmenic 3 mai 2013 16:16

    le defit du capitalisme est de faire le plus de degats possible avant de s’effondrer.


  • Haze Haze 3 mai 2013 21:10

    Très intéressant, merci


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