mercredi 31 octobre 2018 - par bouffon(s) du roi

Rappel : M. Attali : porte-parole du marché, parrain de M. Macron, nous parle

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M. Attali : porte-parole du marché, parrain de M. Macron, nous parle. Les fulgurances de M. Attali sont enseignantes quant au fonctionnement de notre démocratie d'une part, et à l'avenir qui nous est promis d'autre part.

 

Source : Vox Plebeia

 



7 réactions


  • jjwaDal 31 octobre 2018 17:13

    Le "marché" est à nos sociétés ce que les pulsions sont à l’individu. Imaginer que lâcher la bride va résoudre tout les problèmes ne dure que le temps nécessaire pour taper violemment le mur. Qui a aimé 2007/2008 adorera ce qui nous attend.


    • beo111 beo111 3 novembre 2018 10:40

      @jjwaDal

      Ouh là, moi j’ai pas trop aimé 2007-2008 d’un point de vue politique. Pouvez-vous être plus explicite SVP ?


  • La Vouivre La Vouivre 31 octobre 2018 18:41

    Ouais pis de temps en temps, le vieux hibou qui sert à rien, pour reposer sa langue de concierge, il agite les bras de manière anarchique pour faire ventilateur devant des types avec des violons pour se donner de l’importance......

    https://www.youtube.com/watch?v=aZhoiCX2Dk4

    Jacko et son orchestre, c’est un peu comme Mimi Mathy fait du basket...


  • ezechiel ezechiel 1er novembre 2018 01:01
    Jacques Attali (tout comme BHL entre autres) est un adepte du messianisme juif, un courant politico-religieux visant la destruction de l’Europe chrétienne et des identités nationales avec comme arme l’Islam pour fonder un monde sans frontières de nomades, métissé, gouverné par des élites juives milliardaires, avec pour capitale mondiale Jérusalem.

    Quelques rabbins adeptes du messianisme juif :
    https://www.youtube.com/watch?v=SsYAXITGhQA

  • Le Monde part en couilles Vraidrapo 1er novembre 2018 09:05

    avec pour capitale mondiale Jérusalem.

    on peut se demander combien de Juifs, dans le fond, croient à cette fable...

    Déjà, que certains progressistes déclarent se faire chier à Tel-Aviv, ville bruyante et bordélique... Lorsque l’Or noir sera tari, il ne reste plus longtemps à attendre, on verra bien ce qu’il adviendra du fanatisme religieux. ne dit-on pas "Ventre affamé n’a pas d’oreille". La Société israélienne qui tient, vaille que vaille, sur le fil de la solidarité nationale (Choa et tout le toutim...) qui dépasse les antagonismes, éclatera comme l’URSS.

    A l’improbable, nul n’est tenu.


  • Norman Bates Norman Bates 1er novembre 2018 09:56

    Cela fait bien une quarantaine d’années qu’elle est sur toutes les photos, cette binette d’expert-comptable d’une SARL de sous-préfecture...Attali murmure à l’oreille des présidents depuis Mitterrand, l’expertise toujours indispensable pour le bien de la France...c’est un Minc que les "élites" prennent au sérieux...

    Avant Jérusalem capitale du monde il y a Attali Grand Guide de la France, un génie fulgurant qui ne se lit pas sur le faciès un brin niais de l’intéressé et qui s’accommoderait difficilement avec le suffrage universel...il vaut mieux rester au chaud, dans le confort des coulisses, plutôt que de s’exposer aux affres d’un naufrage électoral infligé par un peuple trop bête pour mériter un tel esprit lumineux, parfois incompris...c’est comme du Mozart joué devant des sourds, le chef d’orchestre Attali imprime le tempo mais nul ne saisit les subtilités de l’oeuvre...

    Le citoyen lambda peut juste se résigner à subir en silence, "l’artiste" est indéboulonnable, solidement figé dans un socle indicible, il ne reste d’autre choix que de boire le calice jusqu’à l’Attali...


  • AmonBra QAmonBra 2 novembre 2018 00:05

    Merci @ l’auteur pour le partage.

    Cet illuminé a pour rôle de nous préparer, ou plutôt nous conditionner au futur époustouflant, c’est le moins qu’on puisse dire, que certains, élus par leur sociopathe Yahweh, nous préparent religieusement, sans affoler ces pauvres créatures à apparence humaine que nous sommes, d’où les monstruosités exprimées banalement, avec un calme apparent, l’œil goguenard et un sourire commercial, quand il parvient à fendre son masque d’une telle grimace. . .


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