mercredi 1er juin 2011 - par Frida

Après la gauche


 

Les dix premières minutes du film "Après la gauche"... Sortie le 1er juin 2011.



5 réactions


  • coincoin 2 juin 2011 00:02

    En effet, Aubry, Hollande, Royal tout ça ils en sont loin de cette gauche "traditionnelle". Il est là le problème ; aucun homme politique de gauche, mais aussi de droite, ne "vient du peuple". Nés à Neuilly, Sciences Po, Hec, ENA, etc. ; aucune idée des problèmes dans les cités, les problèmes de logement, bas salaires, chômage, assurance maladie... Bref, la représentation par une élite a échoué.


  • Alsace Alsace 2 juin 2011 12:07

    Ca à l’air très interessant et bien filmé ...mais quand on voit déà certains invités ... Jospin, Plenel...rien que ces deux là risquent de faire considérablement baisser le niveau de credibilité de cette initiative à priori saine.


  • dynamo dynamo 2 juin 2011 12:11

    Jospin :"le démantèlement de l’URSS a décrédibilisé toute idée d’action collective..."
    c’est un peu facile Monsieur Jospin.


  • ged252 4 juin 2011 15:08

    La gauche est morte, c’est un cadavre, elle ne le sait pas parce qu’elle bouge encore un peu.

    La gauche a tout trahit, ses électeurs, le monde ouvrier et surtout ses propres idéaux, donc préparez le cercueil et les pelles, c’est le meilleur service qu’on puisse lui rendre : accélérer sa fin.


  • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 12 juin 2011 10:40

    Cette autopsie semble terriblement ennuyeuse. Même les 10 premières minutes donnent l’impression d’alourdir et de faire vieillir son cerveau de 30 ans au moins, avec de vieilles idées tirées du fond d’un tombeau puant.


    Les concepts de "droite" et de "gauche", qui nous demandent de faire le choix entre deux formes équivalentes d’hémiplégie idéologie, sont totalement hors d’actualité. C’est mort, terminé, tirez le rideau !

    Si vous souhaitez en finir avec la "classe dirigeante", abandonnez cette grille de lecture qui sent la poussière et le vomi séché. La vie politique est ailleurs, dans la recherche d’une démocratie réelle. Elle suppose de la créativité, de l’imagination, du courage. 

    Et de virer la plupart des guignols qui se présentent comme nos représentants. 



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