@wendigo "Les romains avaient la mauvaise habitude de tout noter, mais comme par
enchantement, l’affaire d’un petit juif qui fout sa merde et prône la
révolution au point de se faire punaiser sur un tripalium, là ils
oublient de le noter et s’ils le font c’est 50 piges plus loin mais
comme des cons ils paument le billet...Ne vous ramenez pas devant un tribunal avec un tel faisceau de preuve on risquerait de vous rire au nez ."
Ils oublient de la noter, tout simplement parce que personne à l’époque n’avait imaginé que Jésus Christ, sans armée et sans guerre, par sa Parole de Vie, diffusée tout au long de son périple, faite de dialogues, d’échanges, de questionnements de l’homme à Dieu et des relations humaines, au gré de ses rencontres avec des romains, pharisiens, juifs, païens, grecs, femmes, prostituées, samaritains, pauvres, riches, infirmes, gouverneurs, rabbins, etc...allait changer le destin de l’Humanité.
@yoananda2
Le visage du Christ nous est connu par le saint suaire (ou Mandylion) linceul censé avoir enveloppé le corps de Jésus après sa mort et ayant laissé la trace de son visage.
Le linceul était régulièrement exposé au public dès le Vème siècle, et les artistes le dessinaient tel qu’ils le voyaient, avec cheveux longs, et barbe.
C’est ainsi qu’il a toujours été par la suite représenté dans l’iconographie orientale et occidentale.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mandylion
https://youtu.be/ZYVCwcjJ7Hc
https://youtu.be/19R2apXLWBw
@Luc24 "Cette vidéo commence très mal en disant : "aujourd’hui, si personne ne conteste l’existence terrestre de Jésus..."
Au temps du Christ, il n’y avait pas d’imprimerie et pas d’Internet, l’information n’avait donc pas la même vitesse de diffusion qu’à nos jours, il est normal qu’à la naissance du Christianisme, les écrits soient peu nombreux.
Sans même avoir besoin de faire appel aux auteurs chrétiens, on trouve cependant des sources de l’existence du Christ.
L’historien païen Thallus dont les écrits qui datent de 52 sont
perdus ; seuls quelques fragments cités par d’autres auteurs nous sont
parvenus. Ainsi, Jules l’Africain, auteur chrétien des années 220 cite
Thallus, à propos de l’obscurité qui a eu lieu lors de la crucifixion de
Jésus :
« Thallus, au troisième livre de son Histoire explique cette obscurité par une éclipse, ce qui me parait inacceptable ! ».
Il
s’agit ici d’une preuve « indirecte » de l’existence de Jésus : le fait
que cet auteur parle de « l’éclipse » qui a eu lieu lors de la
crucifixion de Jésus, implique qu’il considère comme acquis l’existence
de Jésus.
Flavius Josèphe (37-97) est un prêtre, pharisien, chef militaire Juif pendant la guerre contre Rome. Il s’est rendu au général romain Vespasien, pendant le siège de Jotapa, alors que beaucoup de ses compagnons se sont suicidés plutôt que de se rendre. Sa collaboration avec les romains l’a fait haïr par ses compatriotes juifs. Historien juif, il a écrit « Guerre des juifs » (75-79), et « Antiquités Juives » (93).
« ...Jésus, qui était un homme sage, si toutefois on doit
le considérer comme un homme, tant ses œuvres étaient admirables... Des
chefs de notre nation l’ayant accusé devant Pilate, celui-ci le fit
crucifier... Il leur apparut vivant et ressuscité le troisième jour... »
(Antiquités 18.3.3)
« Anan le jeune, qui avait reçu le grand-pontificat, ...
réunit un sanhédrin, traduisit devant lui Jacques, frère de Jésus appelé
le Christ, et certains autres, en les accusant d’avoir transgressé la
loi, et les fit lapider. »
(Antiquités 20.8.1)
Suétone (69-125) est un archiviste à la cour de l’empereur Hadrien. Disgracié en 122, il se consacra à des ouvrages historiques.
« Comme les juifs ne cessaient de troubler la cité sur l’instigation d’un certain Christus, il (Claude) les chassa de Rome »
(Vie de Claude, XXV.11)
« Il livra aux supplices les Chrétiens, race adonnée à une superstition nouvelle et coupable » (Vie de Néron, XVI.3).
Ce
passage n’est pas une preuve directe de l’existence de Christ ; mais il
prouve qu’au temps de Néron, c’est à dire une trentaine d’années après
la mort de Christ, il y avait des personnes qui se réclamaient de
Christ : difficile de croire alors que Christ n’ai pas réellement
existé !
Cornélius Tacite (55-118) est considéré comme le plus grand historien de la Rome impériale.
Il
décrit l’incendie de Rome en 64, et explique que les chrétiens sont
devenus les boucs émissaires de Néron qui les accuse d’avoir provoqué le
feu ; vers 116 il écrit :
« Mais aucun moyen humain, ni
les largesses du prince, ni les cérémonies pour apaiser les dieux ne
faisaient céder l’opinion infamante d’après laquelle l’incendie avait
été ordonné [par Néron]. En conséquence, pour étouffer la rumeur, Néron
produisit comme inculpés et livra aux tourments les plus raffinés des
gens, détestés pour leurs turpitudes, que la foule appelait
« chrétiens ». Ce nom leur vient de Christ, que, sous le principat de
Tibère, le procurateur Ponce Pilate avait livré au supplice ; réprimée
sur le moment cette exécrable superstition faisait de nouveau irruption,
non seulement en Judée, berceau du mal, mais encore à Rome, où tout ce
qu’il y a d’affreux ou de honteux dans le monde converge et se répand.
On commença donc par poursuivre ceux qui avouaient, puis, sur leur
dénonciation, une multitude immense, et ils furent reconnus coupables,
moins du crime d’incendie qu’en raison de leur haine pour le genre
humain.
A leur exécution on ajouta
des dérisions, en les couvrant de peaux de bêtes pour qu’ils périssent
sous la morsure des chiens, ou en les attachant à des croix, pour que,
après la chute du jour, utilisés comme des torches nocturnes, ils
fussent consumés. Néron avait offert ses jardins pour ce spectacle, et
il donnait des jeux de cirque, se mêlant à la plèbe en tenue d’aurige,
ou debout sur un char. Aussi, bien que ces hommes fussent coupables et
eussent mérité les dernières rigueurs, soulevaient-ils la compassion, à
la pensée que ce n’était pas dans l’intérêt, mais à la cruauté d’un seul
qu’ils étaient sacrifiés »
Tacite - Annales XV 44
Pline le Jeune (61-114) est un écrivain latin. Il était gouverneur de
la Bithynie (au nord-ouest de la Turquie) en 112. Dans une lettre
adressée à l’empereur Trajan il lui demande conseil sur la façon de
traiter les chrétiens :
« Ceux qui niaient être chrétiens
ou l’avoir été, s’ils invoquaient des dieux selon la formule que je
leur dictais et sacrifiaient par l’encens et le vin devant ton image que
j’avais fait apporter à cette intention avec les statues des divinités,
si en outre ils blasphémaient le Christ - toutes choses qu’il est,
dit-on, impossible d’obtenir de ceux qui sont vraiment chrétiens -, j’ai
pensé qu’il fallait les relâcher... [Ceux qui disaient qu’ils étaient
chrétiens] affirmaient que toute leur faute, ou leur erreur, s’était
bornée à avoir l’habitude de se réunir à jour fixe, avant le lever du
soleil, de chanter entre eux alternativement un hymne au Christ comme à
un dieu, ... »
(Lettres et Panégyrique de Trajan : X/96/5-7)
Ce texte n’affirme pas l’existence de Jésus Christ, mais la confirme de façon indirecte : il prouve en effet qu’au début du IIème, des hommes et des femmes croyaient fermement à son existence.
Lucien de Samosate (125-192) est un écrivain grec satirique. Il parle de Christ comme :
« Celui
qui est honoré en Palestine, où il fut mis en croix pour avoir
introduit ce nouveau culte parmi les hommes... Le premier législateur
[des chrétiens] les a encore persuadés qu’ils sont tous frères. Dès
qu’ils ont une fois changé de culte, ils renoncent aux dieux des Grecs,
et adorent le sophiste crucifié dont ils suivent les lois. »
(Mort de Pérégrinus, paragraphe 11-13)
Celse (IIème ap J.C.) est un philosophe platonicien. Il est romain et
auteur du « Discours véritable », virulente attaque contre le
christianisme. Il écrit :
« Vous nous donnez pour Dieu un personnage qui termina par une mort misérable une vie infâme ».
Remarque : On ne connaît ses écrits que par la réfutation qu’en fit Origène dans son livre « Contre Celse » (7,53).
Le Talmud est composé de la Mishna (recueil de lois et traditions juives mises par écrit vers le IIème) et des Gemaras (commentaires de la Mishna). Le Talmud Babylonien qui a été achevé d’écrire vers la fin du IVème siècle fait référence à Jésus Christ en terme peu élogieux, puisqu’il s’oppose au Judaïsme.
"Immigration : quelles conséquences sur l’économie ?"
Chômage, délinquance, violence et remplacement de population.
@Buk100 "Orson Welles dans le rôle d’Othello"
Othello, c’est un classique de la littérature européenne, il n’y a rien d’étonnant à ce qu’un général vénitien d’origine mauresque puisse être interprété par un occidental.
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"Scarlett Johansson dans "Ghost in the Shell"
Elle a tout fait pour coller à l’original !
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"Elizabeth Taylor en Cléopâtre "
Plutôt réussi !
@Buk100 "Les gars, ça n a jamais choqué grand-monde de voir Jésus sous les traits de Willem Dafoe ou de Robert Powell."
À ma connaissance, toutes les représentations de Jésus dans l’Histoire de la chrétienté, ne l’ont jamais représenté en africain sub-saharien !
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"Ou le rougeaud Depardieu en Alexandre Dumas."
Il est plutôt ressemblant. C’est la barbe qui vous gêne ?
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"Ou encore Moïse interprété par Charlton Heston. Non ? Oui ?"
Moïse, on n’a pas de portrait de lui, on sait juste que c’est un juif, et qu’il n’a donc pas le type sub-saharien. Pourquoi Charlton Heston ne pourrait-il pas jouer un personnage qui fait partie de la culture européenne depuis près de 2 000 ans ?
@Laconicus
Contemporain ou pas, lorsque vous vous emparez du nom d’Arsène Lupin, c’est plus qu’un personnage, c’est un univers entier qu’il faut faire revivre.
La scène doit rappeler la France du début du XXème siècle, avec ses costumes, ses paysans, ses cochers, ses chapeaux haut de forme, sinon, ce n’est plus Arsène Lupin !
Ça ne peut pas être joué par un Africain.
Arsène Lupin noir, c’est un non-sens historique.
Il n’y a pas de Noirs en France à la fin du XIXème siècle.
C’est là encore une manifestation de l’idéologie progressiste du métissage, du multiculturalisme, du vivre-ensemble, pour faire croire que la France a toujours été multiculturelle, et acclimater les Français à la disparition prochaine du monde blanc voulue par nos élites médiatiques et politiques.
@pegase "Non, c’est faux ... la population locale a été MASSACRÉE, il s’agissait d’un génocide ... excusez j’habite sur place, ce n’est pas vous qui allez me donner des leçons d’histoire de ma régions ..."
Qu’il y ait eu des massacres, oui, mais ce n’est pas un génocide, dans le sens où ce n’est un pas un plan préparé, réfléchi et assumé par les autorités pour éradiquer une population de femmes, enfants, vieillards, il n’y a pas eu d’anéantissement de la population civile.
Dans le cas de la Vendée, la loi d’extermination du 1er octobre 1793 n’est pas une loi martiale contre une armée adverse, il s’agit d’une loi programmée pour liquider une population civile pour que "la justice nationale efface enfin le nom de la Vendée du tableau des départements de la République".
Est-ce que vous comprenez la différence ?
@pegase "il y a eu la guerre de trente ans fomentée par Richelieu et ses acolytes, qui ont littéralement anéantis les populations d’Alsace, du territoire de Belfort et de Franche Comté ...."
Il s’agit là de guerres entre armées catholiques et protestantes, il n’y a pas de plan programmé d’anéantissement de la population.
Les hordes de mercenaires protestants suédois agissaient à leur guise, et s’ils ont commis des exactions après les combats sur les populations civiles, comme dans beaucoup de guerres malheureusement, ce n’est pas pour autant un génocide.
@ezechiel
"Bientôt j’embrasserai sur mon sein l’éternité,
Perdu. Perdu. Mon heure est venue.
L’horloge du temps s’est arrêtée,
La maison pygmée s’est effondrée.
Bientôt je proférerai sur l’humanité
D’horribles malédictions."
"Oulanem", Karl Marx (Emmanuel, le nom de Jésus inversé, une appellation de l’antéChrist)
"Les vapeurs infernales me montent au cerveau
Et le remplissent jusqu’à ce que je devienne fou
Et que mon cœur soit complètement changé.
Regarde cette épée :
Le Prince des ténèbres me l’a vendue."
"Le ménestrel", Karl Marx
« Dédaigneusement je jetterai mon gant
A la face du monde
Et verrai s’effondrer ce géant pygmée
Dont la chute n’éteindra pas mon ardeur.
Puis comme un dieu victorieux j’irai au hasard
Parmi les ruines du monde
Et, donnant à mes paroles puissance d’action,
je me sentirai l’égal du Créateur. »
"La vanité humaine", Karl Marx
"Les communistes ne s’abaissent pas à dissimuler leurs opinions et leurs projets. Ils proclament ouvertement que leurs buts ne peuvent être atteints que par le renversement violent de tout l’ordre social passé."
"manifeste du parti communiste", Karl Marx
@pegase "Ils étaient tout aussi cruels dans l’ancien rrégime, on peut s’amuser à compter les morts et comparer leur cruauté si vous voulez ..."
Les guerres, il y en a eu de tout temps et à toute époque !
Mais l’Ancien Régime n’a jamais pratiqué de génocide, contrairement aux républicains.
@Laconicus "Mais je comprends quand même grâce à ces exemples le sens plus étendu que vous donnez à "génocide". "Ma définition est plus étroite : pour moi un génocide est une entreprise destinée à supprimer de la Terre tous les êtres humains présentant certaines caractéristiques biologiques perçues ou supposées."
Nous n’avons effectivement pas la même définition du terme génocide, vous voulez y voir uniquement l’aspect génétique, c’est votre position mais pour moi, elle n’est pas suffisante.
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"j’appelle plutôt cela des guerres de religion, dans le
sens où les populations n’auraient pas été massacrées si elles s’étaient
converties (soumises) à l’islam. "
Vous occultez l’aspect idéologique du génocide.
Il ne s’agit pas là de guerre de religion, d’une armée contre une autre armée sur un champ de bataille, où à la fin, on compte les morts, le gagnant garde tout, et le perdant doit partir, abandonner ses terres, et s’exiler avec femmes et enfants.
Non, il s’agit d’ÉRADIQUER une population : femmes, enfants, vieillards, comme en Inde par les sultans mongols qui voyaient les hindous comme des païens idolâtres, des non-humains qu’on pouvait traiter en esclave ou exterminer en masse. Ce n’était pas une guerre.
Tout comme en Vendée, lorsque les généraux dans leurs rapports mentionnent le massacre des femmes et enfants, la destruction des forêts, des fermes, des métairies, la livraison aux flammes des maisons villageoises, des bourgs, ils ne parlent pas là de bâtiments militaires, ni de la position ou de la stratégie de l’infanterie adverse, ni du nombre de canons de l’armée royaliste, ils font état de la destruction assumée et réfléchie de populations civiles.
@Laconicus "Mais le mot génocide (inventé au XXème siècle) semblerait indiquer que les populations ont été massacrées parce qu’elles étaient nées vendéennes et non parce qu’elles avaient pris une position antirévolutionnaire dans cette région de France. "
Lorsque les généraux de la république se vantent auprès des élus d’avoir massacré des enfants de deux ans, vous imaginez bien que ces enfants n’ont pas pris de position anti-révolutionnaires !
Ils sont massacrés parce que leurs parents représentent l’Ancien Monde, le passé qui doit disparaître, il faut effacer toute trace de la Vendée, comme le préconisait Barère et d’autres.
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"quels autres exemples historiques pourriez-vous donner de "génocide" avant la guerre de Vendée, en France ou ailleurs ? "
Les génocides n’ont évidemment rien de spécifique à la France, ils existent depuis que l’humanité existe.
De tout temps, l’homme a voulu éradiquer ce qu’il ne pouvait pas posséder ou contrôler.
En Afrique, des tribus s’affrontent depuis des millénaires, avec pour objectif l’extermination ou la soumission à l’esclavage de la tribu adverse.
(On a vu encore un exemple récent avec les Hutus et les Tutsis au Rwanda, destruction systématique de la population : femmes, enfants, nourrissons, vieillards à coups de hache, juste parce qu’ils n’appartiennent pas à la bonne ethnie.)
On peut citer aussi récemment le massacre systématique de la population arménienne de Turquie en 1915.
On encore le massacre systématique de la population dans l’Hindu Kush par les sultan musulmans. Une
estimation universitaire évalue
que du XIe au XVIe siècles, de l’an 1000 à l’an 1525, 80 millions
d’Hindous auraient été tués par la répression musulmane sans parler des
famines et autres calamités naturelles
engendrées par la guerre.
Il s’agit là encore de liquider une population : femmes, enfants, civils, parce qu’ils sont différents.
On ne peut pas ici décrire tous les génocides de l’Histoire (faudrait écrire plusieurs livres !)
@maQiavel "Tout le reste de votre post n’est qu’extrapolation idéologique basée sur le travail de Secher qui a déjà été déconstruit".
Le travail de Secher a été déconstruit ? Et déconstruit par qui s’il vous plaît ?
Il a fait un véritable travail d’Historien sur plusieurs années sur la Vendée, a consulté les archives nationales, a eu accès à des rapports, à des lettres, dont il livre des fac-similés dans ses ouvrages.
Personne n’a remis son travail rigoureux en question.
@maQiavel "Mais évidemment, vous ne connaissez
pas cette déclaration du 23 octobre puisque vous ne sélectionnez que les faits
qui vont dans le sens de votre théorie."
Je ne connais pas la loi du 23 octobre 1793, tout simplement parce qu’elle n’existe pas. La Convention a accéléré l’extermination des Vendéens en envoyant en janvier 1794 le général Turreau et ses colonnes infernales en Vendée pour finir le boulot.
Turreau écrit directement au Comité de Salut Public, à Paris : « Je le répète. je regarde comme indispensable de brûler villes, villages et métairies, si l’on veut entièrement finir l’exécrable guerre de Vendée, sans quoi je ne pourrais répondre d’anéantir cette horde de brigands. J’ai donc lieu d’espérer que vous l’approuverez. Je vous demande la grâce de me répondre par retour du courrier ».
La réponse vient enfin le 19 janvier 1794 : « Tu te plains, citoyen général, de n’avoir pas reçu du Comité une approbation formelle à tes mesures. Elles lui paraissent bonnes et pures mais, éloigné du théâtre d’opération, il attend les résultats pour se prononcer : extermine les brigands jusqu’au dernier ; voilà ton devoir ».