L’écrivain bukowski exprime avec sa rage coutumière au moins une partie du problème, je cite :
"Comment diable, un être humain peut-il se réjouir de se faire réveiller à 6h30 du matin par une alarme, sauter du lit, s’habiller, se forcer à avaler qqchose, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, puis affronter les embouteillages pour aller faire gagner un paquet de fric à quelqu’un qui s’attends en plus à ce qu’on lui en soit reconnaissant."