jeudi 23 juin 2016 - par Deux copains d’abord

Un gazon à côté de la plaque ("Euro-gazon")

Il y a vraiment de quoi se la peindre en vert, non ? Si nos stades refaits de neuf pour la plupart en jettent un max, les gentils organisateurs semblent avoir oublié que le foot se joue sur une pelouse, et non sur un champ de patates ondulé sentant le moisi... Que l’UEFA impose en catastrophe de bomber un terrain en vert pour le spectacle télévisuel est affligeant, et nous ne pouvions pas laisser passer cela sans réagir.
Nous avons longuement hésité entre plusieurs jardiniers-chanteurs parmi lesquels, entre autres
- Joe Dassin, avocat des jardiniers : "On niera... où tu voudras, quand tu voudras... et l'on sèmera encore... lorsque l'Euro sera mort..."

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- Claude Nougaro : "Ô pelouse, ô pelouse, ô pelouuuuuuuuuuuuuuse !"

- Daniel Guichard : "Avec sa pelouse râpée, que ce stade faisait pitié / On y glissait comme pas deux, mon Dieu "

- Jean Constantin : "Car son rêve, c'était d' voir pousser le gazon !", Jean-Marie concluant nos élucubrations par un sublime "Amazing grass" qui fut hélas recalé à l'oral (cette herbette en avait l'air, dommage).

Tout cela pour interviewer finalement le Jacques Brel des bonbons (plutôt la version de 1967, je pense). Un conseil : cramponnez-vous bien, ça dérape sur cette maudite pelouse...

 

 



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