mercredi 21 février 2007 - par Jenny

Don Quichotte, le retour

Des tentes nouvelles ont été installées sur le quai de Canal St. Martin. L’Etat ne bouge pas trop selon Augustin Legrand. La fille d’Ingrid Bétancourt, Mélanie, donne son opinion.



2 réactions


  • adam0509 (---.---.107.105) 21 février 2007 23:01

    toujours le même problème, aucun centre d’accueil sérieux en france, même dans les prisons les gens sont mieux lôti...


  • asseap@gamil .com (---.---.219.89) 25 février 2007 13:52

    Encore un profiteur de la misère d’autrui qui obtient cent millions d’euros des démagogues qui nous gouvernent. Des milliers de propriétaires privés, dont moi, accueillons des SDF pour les loger, la CAF payant l’essentiel de leur loyer. La plupart, quand ils sont morts ou partis, m’ont laissé le logement en bon état mais il y en a quelques uns (un pour cent) qui ne se sont pas préoccupés de l’entretien des locaux. Et le dépôt de garantie n’est pas suffisant pour couvrir les travaux de réhabilitation après leur départ.

    Plutôt que de donner cent millions d’euro à Augustin Legrand sans être sûr de contrôler leur utilisation, ne serait-il pas plus profitable de rajouter un crédit à ALIANCE ou à une organisation de ce genre, qui existe déjà, pour qu’elle puisse disposer de davantage de finances à attribuer aux propriétaires privés afin qu’ils puissent systématiquement remettre à neuf les appartements endommagés avant de les louer à d’autres SDF.

    Avec cent millions d’euro, on dispose en effet de suffisamment de dépôt de garantie pour cinq cent mille logements locatifs privés, je dis bien cinq cent mille logements, sans que l’Etat ait à fournir un sou pour leur construction et l’entretien des parties communes.

    Devant l’église Saint-Maurice à Lille, où se trouve un campement de " dom Quichotte", je viens de recruter deux locataires. Mon opinion sur Augustin Legrand s’est faite à partir de celle des SDF de ce campement qui considèrent Augustin Legrand comme un "vautour" qui exploite leur situation .

    A travers les reportages où il est mis en valeur, les SDF qu’il place dans ses tentes apparaissent en effet comme des alcooliques abrutis qu’aucun propriétaire privé n’a envie de loger.

    A Lille du moins, certains ont des qualifications et semblent présenter le profil du parfait locataire.

    Evidemment, les imposteurs préfèrent réclamer des fonds publics car le détournement y est plus facile qu’avec des fonds privés.

    vraitravailleur


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