Le féminisme, un fléau pour l’humanité
Lors de leur divorce en mai 2016, Amber Heard a accusé Johnny Depp de violences conjugales. Malgré l'absence de preuves confirmées par la police, elle a été crue sur parole. Ambassadrice du Women's Rights, elle clame haut et fort son engagement féministe. Calomnié, accusé, ruiné, l'acteur a été dépeint comme un homme violent, pervers et dangereux. Qui croyait encore à l'innocence de ce "mâle blanc privilégié cisgenre" ? Et pourtant, le retournement de situation qui s'est opéré ce 31 janvier 2020 révèle à quel point la société nie et méprise toujours les violences subies par les hommes. Pire encore, le cas Johnny Depp illustre à quel point l'homme blanc hétérosexuel est considéré comme un agresseur par nature. Dans l'idéologie féministe, la parole d'un homme vaut effectivement moins que celle d'une femme...
16 réactions
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ahtupic 21 février 2020 18:06Elle est bien, cette petite.
Oiur les féministes, des arrivistes et des mal-baisées.
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albert123 21 février 2020 18:43Au contraire, le féminisme est un cadeau du ciel, il permet d’observer ce que devient une majorité de femmes quand elles n’ont plus rien pour les limiter dans leurs perversions et leurs délires.
Et pour la minorité qui n’y succombe pas, cela les rend encore plus magnifiques car leur véritable beauté saute désormais aux yeux.
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totof 21 février 2020 23:53@albert123
Intéressant ça. Effectivement, on dirait bien que la période soit telle que les femmes n’ont plus de frein, ce qui a pour effet de libérer un vieux fond misandre chez elles. En particulier, elles sont libres d’utiliser sans le moindre frein social la puissance de leur sexe qu’il a toujours fallu réfréner pour maintenir la société. De tels freins existent aussi pour les hommes bien sûr, sur la violence physique par exemple, mais eux sont plus présents que jamais, à la différence des freins destinés à contrôler la puissance du sexe féminin. Du coup, ça donne des barbares avec des comportements de cours d’école comme les deux connes de la vidéo, Camille et Justine. Etrange aussi de voir que les comportements de ces hystériques sont souvent les mêmes, avec une étrange excitation.
Bien sûr, je ne parle pas de toutes les femmes mais ça fait quand même du monde. J’ai l’impression que c’est quand même une grosse majorité mais ça doit dépendre des milieux qu’on fréquente j’imagine. -
albert123 22 février 2020 08:42@totof
si la misandrie est présente ce n’est pas vraiment là que ce trouve le fond du sujet,
Il apparait de plus en plus évident que le fait de ne pas adhérer aux valeurs des différentes idéologies contemporaines en vigueur structure et émancipe les individus, là où le fait d’y adhérer produit l’effet inverse, qui plus est quand ces valeurs favorisent le laisser aller, l’acceptation de tout et met en valeur l’abandon se soi
Ce prêt à penser idéologique rend les individus faibles, serviles et idiots, moutonnier et bêtement sectaire pour résumer,
et c’est d’autant plus marquant qu’en période de déclin, la société pour se régénérer a besoin d’individus qui n’ont pas sombrés, auto critiques, aptes à l’abnégation et au sacrifice,
l’épreuve est de plus en plus perceptible, il est si simple et valorisés de sombrer dans la barbarie quand le fait de rester droit, d’être « sérieux » et adulte est considérer par la majorité comme étant barbant, pénible et triste,
la même majorité idiote qui vous traite de puritain, de facho ou de macho, non pas parce que vous le seriez mais juste parce que la hauteur que vous prenez en vous éloignant de cette dérive leur renvoie en pleine tête leur bestialité et la dégénérescence à laquelle ils ont par paresse succombé,
plus au moins consciemment et quand bien même la société les récompense encore (avec du pouvoir, de l’argent et de la gloriole) ils ont intégré l’idée d’être les idiots utiles d’un jeu qui triera à la fin les humains des bestiaux.
si tel n’était pas le cas, leurs réactions ne seraient pas si hystériques et délirantes face à cette réalité d’une société qui revient à ce qu’ils désignent comme un retour au puritanisme (ce qui est le cas quelque part) et qui n’est en fait que le prémisse à un recadrage généralisé auquel ils auront bien du mal à survivre eux qui sont si facilement tombés dans leurs vices sans la moindre retenue,
Ainsi ils auraient eux aussi le coeur léger et vivraient en paix avec eux même, attendant et observant l’évolution d’un cycle inexorable, celle d’un retour prochain à un âge d’or où toutes les perversions si acceptées et même récompensées dans cette phase de déclin n’auront plus leur place.
comme pour le reste la toute puissance du féminisme actuel signe également son crépuscule. Comme toute idéologie elle est à la fois le poison et son propre remède.
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totof 22 février 2020 16:29@albert123
Globalement d’accord avec votre propos.
Un mot quand même. J’entends bien que la misandrie n’est pas le fond du problème mais le fait qu’elle émerge ainsi est un symptôme de cette chute que vous décrivez : à défaut de se retourner contre les exploiteurs, la population se retourne contre elle-même.
Et puis, je ne sais pas si l’histoire a la forme de cycles... -
Mahler 24 février 2020 21:47@Laconicus
J’ai pas dit qu’elles étaient plus gentilles ni plus empathiques que les hommes. Mais au final que ce soit les hommes ou les femmes chacun a des désires sexuels, c’est la nature c’est même quelque chose de sain, mais bon plus de 1500 ans de christianisme avec sa doctrine de mortification de la chaire, ça laisse des traces.
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ahtupic 21 février 2020 22:50Et quand on voit les femmes en politique qui sont pire que les hommes. La Lrem en rassemble une bonne partie, des femelles ratées, la Schiappa, la Beloubete, la N’diaye, la Buzyn, la Lagarde, la Penicaud, la Bornée, la Loiseau, etc. La plupart moches comme des poux et idiotes
Je plains franchement leurs maris, mis à part la paie qu’elles rapportent pour leur imbécilité..
Il est vrai que leur chef ne représente pas du tout ce qu’on appelle un mâle mais plutôt un trans....
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Mr.Kout 21 février 2020 23:39Ce féminisme là n’en est pas un, fait des toutes les femmes des hommasses c’est du masculinisme.
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sls0 22 février 2020 01:16Par manque de virilité on est PD ou macho.
La plupart des mecs confondent machisme et virilité.
Les femmes ne se trompent pas trop sur le sujet, je ne crois pas qu’un jour un homme, un vrai ait eu un problème avec des féministes.
La petite c’est une ultracatho, qu’elle ait un discours patriarcal est normal.
Non je n’ai pas regardé la vidéo, d’autres m’ont permis de me faire une idée.
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gaijin 22 février 2020 07:43le fléau c’est l’égalitarisme ( d’où découle le féminisme et le normatisme ).
tenter de construire une humanité moutonienne, chaque individu étant substituable a n’importe lequel jusque dans son fonctionnement biologique est une absurdité découlant de l’erreur néolithique .........