Il reconnaît être "proche de
la fachosphère"[2] mais
se dit de gauche[3][4],
tout en admettant qu’il n’est pas vu ainsi
.
Une fois dématrixé du centrisme, ça lui est égal que ces
auditeurs rejoignent l’Action Française ou Mélenchon.
.
Il se dit souverainiste[10],
mais pas patriote.
.
Il est pour "la démocratie référendaire" qui
est selon lui le "dénominateur commun" de son
camp qu’il nomme : "les souverainistes
.
Il est pour un Frexit car pour lui l’UE est un projet
"totalitaire, bricolé par des "seconds couteaux",
des nazis et des américains."
.
À quelques jours du 1er tour, il se dit
"très tiraillé" sur le choix de son vote. Les
options qu’il considère sont : vote blanc, "petit
candidat prolo", ou Mélenchon. [29] Il
"déteste l’injonction au vote utile". Selon lui,
la gauche "avait 5 ans pour s’unir"
.
Il dit qu’en cas de 2nd tour Macron/Le
Pen, il voterait Le
Pen, mais dans le cas Mélenchon/Le
Pen, "à priori Mélenchon"
Finalement il dit avoir voté Jean
Lassalle au 1er tour et Marine
Le Pen au 2nd tour.
.
Il trouve acceptable qu’une minorité se révolte et prenne le
pouvoir sans qu’il y ait d’adhésion idéologique de la majorité
.
Il souligne
ses désaccords avec Rokhaya
Diallo [48] qu’il
ne considère pas être de gauche, mais comme un pur produit de
think-tanks américains.[49]
.
A propos de l’islam et de la laïcité,
selon lui "les 3/4 des musulmans de gauche dans le monde ont
une position plus proche de celle de Zemmour que
de Mélenchon".[67]
.
Pour lui, quand une société va mal,
l’immigration est un facteur aggravant. La France aurait abandonné
le système "assimilationniste". Pour lui il faut
"stopper les flux migratoires" à l’exception des
réfugiés politiques, des réfugiés de guerre, des étudiants
.
Selon lui la gauche française devrait
systématiquement se positionner du coté des laïcs dans les
conflits, comme le prône selon lui "la gauche dans le monde
entier, la gauche non européenne".[77]
.
Il situe la France insoumise à gauche
mais pas à l’extrême gauche.[82]
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Il dépeint Eric
Zemmour comme étant autoritaire, conservateur et qu’il
est "la filiation naturelle de l’une des trois familles
de l’extrême droite française." [93]
.
Il commente la stratégie
de Zemmour qui
souhaite l’union entre "le prolétariat blanc et la
bourgeoisie patriotes, c’est-à-dire des gens à qui il ne parle
pas, avec des gens qui n’ont jamais existé".[96]
.
Il définit un bloc bourgeois "qui
va du PS aux républicains et qui est une usine à trahir les
promesses faites aux ouvriers, et les promesses faites aux
souverainistes".[97]
.
Selon lui, il est impossible qu’un
bourgeois soit patriote.[122]
.
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