mercredi 3 janvier - par mat-hac

Manifestation "Dernière Rénovation" : 80.000 Euros d’Amende

Dernière Rénovation : la peinture militante qui a coûté cher à la justice ! Trois écologistes condamnés à une somme astronomique après avoir alerté sur la crise climatique en peignant la préfecture. Une action symbolique, un jugement sévère. La frontière entre protestation et désobéissance civile interrogée. Un débat crucial pour l'avenir de l'activisme environnemental.



3 réactions


  • V_Parlier V_Parlier 3 janvier 10:27

    Je me demande pourquoi tous ces activistes climatomaniaques continuent de manifester alors que leur programme est soigneusement mis en application en Europe : Privations d’énergie, désindustrialisation totale, projets utopiques sur l’automobile qui finiront par priver 80% de la population de voiture. Qu’ils ne s’inquiètent pas, dans 10 ans ils seront totalement "carbon-free", tous nus et à le rue comme ils en rêvent !

    Autant il y a quelques années je remarquais que le mythe de la croissance économique infinie était un délire, mais aujourd’hui le mythe de la vie sans énergie en est un encore plus grand !


  • Et Hop ! 4 janvier 12:58

    Un débat crucial pour l’avenir de l’activisme environnemental. "


    On peut manifester pour l’environnement sans dégrader ... l’environnement.

    Je trouve normal qu’ils soient condamnés à rembourser les dommages, il n’y a pas de raison que ce soit le contribuable, mais pas qu’ils soient condamnés à une amende : manifester devant une préfecture est un droit.

    Le collectif " Derrnière rénovation " pourra payer les travaux à leur place, mais pas les amendes

    " Le tribunal judiciaire de Lyon a condamnés pour « destruction du bien d’autrui en réunion » à 1.000 € d’amende avec sursis chacun, contre 300 requis par le Parquet à l’audience, tenue en début de mois, et à rembourser solidairement 79.000 euros de dommages et intérêts au département et à la préfecture, au titre des réparations engagées. "


  • Et Hop ! 4 janvier 13:09

    " Un débat crucial pour l’avenir de l’activisme environnemental. "

    C’est pas vraiment un combat pour l’environnement, c’est-à-dire contre la pollution, c’est soit social, soit les délires carbono-réchauffistes.

    Les trois trentenaires militants du collectif Dernière Rénovation, un ingénieur en reconversion, une orthophoniste et un travailleur social, avaient voulu alerter sur l’inaction climatique, et plus spécifiquement sur les manquements de l’État sur la rénovation énergétique du parc immobilier. Des actions similaires avaient eu lieu à Paris, Marseille, Nantes, Toulouse et Tours. 


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