Mes pauvres agneaux il n’y a aucune issue, aucun gentil végan sur la route de l’abattoir. La bête viendra, ce qu’elle est j’en sais rien, et détruira. J’en suis certain c’est le matérialisme qui parle.
Et ensuite viendra le salut pour le peu de gens qui resteront droit, je doute fort d’en faire partie. La c’est la foi qui parle.