@Giordano-Bruno
Les premiers à s’arroger ce droit sont les publicitaires. De toute façon, les enfants ne rêvent que des rêves qu’on leur propose, le rêve ne naissant pas spontanément dans une tête vierge de toute influence. Il faut donc choisir les rêves qui sont collectivement proposés aux enfants... ou laisser les entreprises le faire.