ged252 27 février 2020 10:40

Et autre chose, encore une petite critique adressée aux chrétiens, enfin peut-être.

.

Aristote dit quelque part que donner la définition d’un mot, c’est donner le genre prochain de ce mot et ses différences spécifiques.

Donc définition = genre prochain + différences spécifiques.

Par exemple donner la définition du courage c’est dire que le courage est la vertu qui concerne les dangers de mort..

Ensuite Aristote explique que le genre prochain c’est le genre le plus proche.

Et ce mot prochain, dans la bible, vient peut-être du grec, et pourrait avoir le sens de "nos proches", c’est à dire les parents, les frère et soeurs et la famille élargie, sinon ça n’aurait pas de sens, à mon avis.

Et lorsqu’il est dit " si on te frappes sur la joue droite, tends la joue gauche", ou "aime tes ennemis", ça pourrait s’adresser avant tout aux gens de sa famille.

.

Mais si cette supposition est exacte, les migrants ne peuvent pas être considérés comme nos prochains, et l’attitude des "chrétiens qui acceuillent les migrants" ne serait pas appropriée. 

ça ne veut pas dire qu’on doit être hostile aux étrangers ou les haïr, mais ça veut dire qu’on n’a pas obligatoirement les mêmes obligations vis-à-vis d’eux, que vis-à-vis de nos prochains.

.

Et je me range ici à l’avis de la majorité, quand on a déjà 15 millions d’étrangers un peu mal adaptés, ce n’est pas vraiment une bonne idée que d’en acceuiilir davantage ou de leur souhaiter la bienvenue.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe