ETTORE 31 janvier 2020 18:15

Ouille...je me fais du souci pour Carlos GHOSN !

Faire un si long voyage dans un coffre à contrebasse, pour éviter le violon japonais, et venir se perdre dans un pays en crise.....

Franchement...on voit bien que ce " capitaine" d’entreprise était en fin d’intuition pour mener sa barque d’égo gonflable jusqu’à ces rivages en perdition.


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