Ouille...je me fais du souci pour Carlos GHOSN !
Faire un si long voyage dans un coffre à contrebasse, pour éviter le violon japonais, et venir se perdre dans un pays en crise.....
Franchement...on voit bien que ce " capitaine" d’entreprise était en fin d’intuition pour mener sa barque d’égo gonflable jusqu’à ces rivages en perdition.