Fantômette contre Jean Robin Jean Robin contre Fantômette 27 novembre 2019 17:18

@maQiavel

Il ne s’agit pas d’opposer les viols de rue, viols sauvages au viol camouflé dans un appartement. Les viols de rue sont minoritaires (12% dans l’enquête du Parisien). De même, 49% des victimes connaissaient leur agresseur ce qui grosso modo, ne change pas grand chose au primat des étrangers et immigrés dans les violences domestiques. Je suppose qu’une bonne partie des viols se passent à la suite d’une sortie, d’une rencontre virtuelle puisque ce sont les quartiers de bars et de boîtes de nuit qui sont concernés. 

Les greluches qui se font violer, on les retrouve dans les manifs parisiennes féministes anti-blancs. 


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