@Christelle Néant
Rebonjour.
La langue est un problème dites-vous.
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Sachez que les ukrainiens ne sont pas des arriérés et des bons à rien capables de rien comme vous avez pris plaisir à longuement expliquer dans votre n°164. Ce n°164 vous a vraiment discréditée au niveau du mépris affiché envers tout un peuple (peuple qui a douloureusement ressenti ce mépris en sus de la sanglante oppression subie par la dictature soviétique de Moscou).
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En faisant un petit effort, Christelle, vous trouverez des ukrainiens non indépendantistes qui sauront dialoguer en russe, en anglais et même en français.
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Je vous ai dit ce que j’avais à dire, à deux occasions, en toute sincérité et franchise, sans esprit polémique ni calcul de "jésuite vicieux" (et autres noms d’oiseaux qui n’apportent strictement rien au débat en dehors de vouloir inutilement blesser vos interlocuteurs).
Je n’ai pas l’intention de venir hanter vos 100 ou 300 futurs communiqués rappelant les terribles propagandes des années 30.
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Il vous appartient de poursuivre dans la voie de la haine et du mépris des ukrainiens qui, dans leur énorme majorité ne vous ont rien fait et ne doivent pas être mis dans le même sac qu’une extrême droite sévissant maintenant aujourd’hui dans presque toute l’Europe. Le peuple ukrainien a assez souffert comme cela depuis les années 30.
J’ai peut-être été le seul sur Agoravox a condamner le retrait du russe comme deuxième langue officielle. Énorme erreur du Parlement Ukrainien post Maïdan que j’ai dénoncée aussi dans d’autres médias (sans trop voir les partis parlementaires français et européens me suivre sur ce dossier).
Un deuxième vote pourrait se faire un jour dans l’autre sens. Comme beaucoup d’ukrainiens, de français et d’européens, je continuerai à œuvrer pour cela. Idem pour les autres "gaffes" commises sous l’impulsion d’une extrême droite ukrainienne qui ne conservera pas éternellement cette déplorable excessive mauvaise influence parlementaire. Je fais ce que je peux à mon humble niveau, parce que j’ai des amis ukrainiens et russes (dont un fils) à Paris et par principe d’amitié entre les peuples.
S’il y a de plus en plus de gens qui se mobilisent pour un processus institutionnel pacifique (solution préférée par Vladimir Poutine lui-même, je vous le rappelle encore en passant, entre deux de vos inutiles sobriquets désobligeants à mon encontre), ce sera bénéfique pour tout le monde.
Pensez-y sans mépris ni médisances.
(et plus jamais de n°164 SVP, cela vous discrédite).
A+
Cordialement.