jack Mandon jack Mandon 23 juin 2019 11:23

simple citoyenne,

 

Quand l’enfance et l’adolescence rencontre la voix, la poésie et la musique de Georges, sauf respect que je lui dois, le cœur sensible et l’esprit ouvert, la mémoire humaine flirte avec le sacral panthéiste notre vie durant.

Peut-être le pressentait-il, mais au moment de cet échange, l’artiste se livre généreusement sous forme testamentaire. Il confie qu’il est malade, il s’éteindra deux ans plus tard.

Merci pour ce rappel qui mêle la culture à l’amitié. Un modèle intemporel vers lequel on peut se retrouver, grandir et sublimer. La vie bonne et pourquoi pas en forme d’éternité.


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