L’intelligence qui consiste à avoir un gros Q.I (Mao-him-self) n’est pas suffisamment significative, surtout mise en balance avec un discours aussi égo-centré qui, à défaut d’argument pompeux, renvoi direct au trollage.
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Il manque visiblement à Mao du discernement et il n’a pas l’air de capter ses interlocuteurs, donc il amalgame, utilise son gros cerveau rapide et efficace comme un bourrin qui veut sortir du coin par le coin. Et le coin, il y est : la risée.
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Le rat est considéré comme un animal très intelligent pourtant, pris au piège dans une petite cage grillagée, jamais il n’essayera de forcer la porte par laquelle il est entré pour la simple raison qu’il ne voit pas au travers. Même pas besoin de bloquer cette porte, le rat préférera ce découper la tronche en frite plutôt que de pousser un bon coup la seule surface opaque de la cage. À méditer.
Un autre animal de la même taille, moins intelligent, en arrive peut-être à pousser cette porte et à sortir ? 
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On ne peut tabler sur un seul type d’intelligence ou l’autre pour toucher à la vérité, c’est pourquoi les échanges de différents point-de-vue constructifs et démystificateurs ont plus de chance de s’en rapprocher que toute approche singulière, peu importe le Q.I de ouf du protagoniste.