alanhorus alanhorus 12 août 2018 21:14

Benalla est un peu un adolescent dans sa tête, peut-être a t-il un compte a régler avec sa propre vie, quand un adolescent attardé en rencontre un autre ....
En effet :
trouvé sur la page :
http://www.panamza.com/02082018-benalla-censure/

https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:XQq01T19_RkJ:https://www.lejdd.fr/politique/exclusif-benalla-au-jdd-jetais-pret-a-demissionner-on-ma-repondu-que-ce-netait-pas-la-peine-3721481

L’enfant qui rêvait d’être flic

L’enfance d’Alexandre Benalla ne le prédestinait pas à fréquenter les hautes sphères. "J’ai grandi avec ma mère, mon petit frère et ma petite sœur dans 15 m2 à La Madeleine, une ZUP d’Évreux, résume-t-il. La fenêtre donnait sur la maison d’arrêt, on s’habillait au Secours populaire." Arrivée du Maroc en 1980 pour étudier la chimie (elle passera le Capes et enseignera les maths), sa mère quitte son père violent peu après sa naissance. "Je ne l’ai pas connu. Il a essayé de m’enlever trois fois, raconte Benalla. On a dû me cacher chez ma tante." À l’école, il est "plutôt bon, mais toujours le clown de service", turbulent et provocateur.

À 15 ans, au culot, il écrit au ministre de l’Intérieur (c’était Nicolas Sarkozy) pour demander un stage d’observation au Raid, l’unité d’élite de la police. En réponse, on lui propose trois jours au Service de protection des hautes personnalités (SPHP). Fou de joie, il se retrouve à l’Élysée un mercredi, jour de Conseil des ministres. Une photo souvenir le montre dans la cour du palais, posant fièrement entre deux limousines. Il se fait un serment : "C’est ici que je veux travailler."


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