@Qirotatif

 Non, ceci relève de la même démarche, le problème est simple nous sommes trop nombreux sur cette planète et nous sommes pris par le temps. Donc je vous laisse cogiter pour nous trouver une idée sur comment résoudre cet inconvénient ?
Vous savez "gouverner", c’est aussi prendre des décisions difficiles, c’est aussi le devoir de décider qui doit vivre ou mourir.
Bien nous devons réduire notre population, qui qu’on butte, et sur quels critères ? On garde les riches on flingue les pauvres ? on fait cela en fonction de la religion, de la couleur de la coupe de cheveux ?
Nous n’avons pas assez de bouffe, et nous allons en avoir de moins en moins, car ce n’est pas vers les beaux jours que nous allons bien au contraire, nous allons vers une inconnue, sans bouffe ni énergie, et il faut faire vite désormais.
Et bien on reste prosaïque et on se sert des outils"que nous avons sous la main, l’économie, le social, le militaire les religion, ne seront bientôt plus d’utilité publique, on sacrifie pour fragiliser psychologiquement et le gros du taf ce sont les changements terrestres qui feront leur tâche habituelle.
Quoi qu’il arrive quoi que vous en pensiez, que vous le vouliez ou non, ce grand changement va faire une hécatombe, mais pas assez pour les conditions qui nous attendent pendant et après, donc autant enrichir la formule et s’en servir à bon escient .
Une pierre trois coup.
Maintenant ne rêvez pas, tout ce qui se passe en politique est prévu par quelqu’un, diriger c’est tromper selon machiavel , et la tromperie dans ce domaine cela s’appelle du "complot".
Seul point positif, et ce qui démontre que vos tocards politiciens ne sont pas à la manoeuvre, c’est que sur ce coup il ni a pas de favoritisme avec les amis, la sélection va se faire par capacité et compétences naturelles ainsi qu’un gros coup de pot et non sur la lignée ou vis à vis du compte en banque, mais juste sur les aptitudes génétiques.
Mais svp arrêtez de rêver en pensant que la gestion de l’humanité ne se résume qu’à la gestion économique et sociale et si vous aviez la moindre vague idée de ce qui est en train d’arriver, vous comprendriez encore allègrement mes mots.
Pour sauver notre espèce nous allons devoir la sacrifier en grande partie.