Baston Labaffe Gaston Lagaffe 25 mars 2018 01:43

@Mahler
Noooooooooooon, là je dis stop quoi, pouce, quoi, temps mort, quoi, merde, on avait dit pas le physique, c’est vrai à la fin quoi... Ou alors faisons carrément l’apologie de l’eugénisme et le cas est réglé, halte à l’hypocrisie enfin... QUI ici peut se targuer d’aimer baiser des thons ? Hein ? Qui ici aime les moches ? Hein ? Franchement ?

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Conséquence de plus de l’exacerbation romanesque faussée et irréelle qui perdure depuis les statues grecques antiques, (qui a retrouvé une statue d’obèse immonde embrassant une Vénus ? Dans quel conte de la renaissance, la princesse a le physique de Léonarda et la sorcière celui d’Angelina jolie ?)

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Voilà, arrêtons de culpabiliser d’appeler un chat un chat, et une Nabilla une salope alors qu’on donnerai le bon dieu sans confession à une mère Thésésa que même un algérien en manque de cul ne parviendrait pas à violer...

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Osons l’honnêteté merde, OUI on préfère voir des Stalonne à l’écran plutôt que des jean Robin, OUI on préfère voir des Rocco Siffredi plutôt que des Usul ou nous mêmes, dans un porno parce que c’est PLUS esthétique, on va pas se mentir, la recherche de la symétrie dans les statues égyptiennes, c’est pas pour tenter de faire le portrait d’un Haziza ou d’un Meyer Habib moyen/XXXL, non ?

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Y a des beaux, y a des moches, les critères de beauté varient d’un siècle à l’autre, les grosses truies d’il y a 300 ans étaient prisées pour leurs formes car signes de richesse et d’opulence, on risquait pas de crever de faim avec ces mochetés mais ça n’empêchait pas d’aller dans les maisons closes baiser des filles de grandes beauté et d’une jeunesse encore désirable avec le pognon que le tas de graisse infect nous donnait en échange des faveurs de notre bite et de la promesse de fonder foyer pour assurer une quelconque descendance pour que se transmette le sang de la noblesse... Echanges de bons procédés, docteur...

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Faut arrêter le délire, une actrice de cul reste plus baisable qu’une Maïté, on est bien d’accord..

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C’est ça aussi, la magie des merdias. Mais avec internet il y a des pouilleux qui s’incrustent dans l’image et c’est sûr, c’est tout de suite moins glamour, mais ça reflète une certaine forme de réalité tout en nous renvoyant, parfois, à notre propre médiocrité ou disgrâce physique dans l’ère du paraître, en gros, sois beau, montre toi mais tais toi, sois moche et tais toi mais surtout ne te montre jamais...

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Donc voilà, on avait dit pas le physique quoi... 


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