Au passage, on voit que la politique d’achats et d’investissements tous azimuts du Qatar dans la communication, l’information, le luxe, le sport, etc., se heurte au mur des réalités géopolitiques en temps de crise.
Le prestige acheté sur étagère, la finance et l’ostentation ne peuvent pas se substituer intégralement à la puissance économique et militaire...