grandi grandi 6 février 2015 15:22

Bonjour un primate

Je me méfie des mots en "isme" qui créaient des blocs type 1984, les poussent les uns contre les autres, pour le plus grand bonheur des banquiers et industriels. Les banquiers n’ont pas de camp et endettent les états (donc nous) pour faire tourner à plein régime les affaires de l’industrie de la sécurité et de l’armement des deux bords. Ils rendent esclave le peuple en le persuadant, à grand renfort des médias dont ils sont propriétaire, que l’autre bloc représente un immense danger qu’il faut à tout prix combattre. Notre époque en est le meilleur exemple, par le financement, en sous main, par l’oligarchie de l’islam-"isme", qui ouvre un boulevard à toutes les dérives totalitaires des pantins de gauche comme de droite, que les oligarques sponsorisent et mettent en place, pendant que la plus grande partie du peuple, a le sentiment naïf de les avoir élu. Ces pantins votes des budgets pour détruire les pays comme l’Irak, la Syrie ou la Libye, nous pressurisent d’impôts pour rembourser les dettes des crédits qu’ils ont voté pour financer les bombes qu’il vont larguer sur nos frères musulmans détruisant des vies, des familles et des pays qui ne demandait qu’a vivre tranquillement. Bénéfices supplémentaires, ils pillent les ressources naturels des pays détruits et créaient un terreau d’écorchés vifs qui ont quelques raisons d’en vouloir à l’occident. Ils n’ont plus qu’a sélectionner financer et armer les plus déterminés d’entre eux pour venir combattre les esclaves occidentaux soumis à l’oligarchie. Les esclaves se réveillent un matin au son des armes automatiques qui crépite dans une rédaction, s’entonnent de la brutalité du monde et répondent par milliers à l’appel des médias à la botte pour brandir leur petite pancarte je suis "manipulé" oups un petit lapsus, je suis "Charlie". Je suis tout a fait d’accord avec la fin de votre texte et c’est pour cette raison que je tente de faire en sorte que les citoyens redeviennent acteurs sans se faire récupérer par qui que se soit en "isme". Pour marcher j’ai besoin de mes deux jambes, celle de gauche comme celle de droite et elle ne sont ennemie que si mon cerveau est malade. Attelons nous donc à soigner notre tête car c’est là qu’est se situe le problème.

Vive la France


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