Medusai Medusai 25 octobre 2014 20:00

Très intéressant. On verra si seul l’émotion sauvera le monde. J’ai des gros doutes. 


En résumé la femme est juive et l’homme est chrétien d’ou le besoin d’un genre nouveau. Le métissage ultime pour obtenir la paix ultime... ou pas LOL.

Tiens en parlent de femme, pour moi un des plus grand génie de ce monde était très féminin donc sur de lui et dominateur... Il n’y a pas plus totalitaire et sanglant que la femme quelle que soit son visage, masculin ou féminin.


Voici quelques passages du livre « sacrilège », aujourd’hui introuvable : 
« Hitler est avant tout un poète, un grand coeur et c’est pour l’homme de toutes les nations qu’il a réfléchi. 
L’homme qui gouverne l’Allemagne hitlérienne, il faut avoir assez de connaissance humaine pour le déceler et de courage pour l’entendre, est un homme exceptionnel dont l’esprit puise ses idées, non dans les régions glacées de l’ambitieuse habileté politicienne, mais dans un amour profond et dans une discipline de soi-même dont n’ont aucune idée les professionnels de la rouerie et de la combine. 
Hitler, un génie plus vaste que celui de l’individualité, plus profond que celui de l’esprit ... un génie national, un génie de race qui incarne son peuple entier. 
Ses yeux sont du bleu profond des eaux de son lac de Königsee, quand le lac tout autour de Sankt Bartholoma reflète les puissantes cassures striées de nuages de son Tyrol. Il est exaltant de se trouver près de lui quand il parle. (...) Son corps vibre sans s’évader une seconde du galbe de sa tenue ; son mouvement de tête est juvénile, sa nuque est chaude. Ce dos-là n’a pas été cabossé par les sales passions de la politique ; il est plein et pur comme un tuyau d’orgue. Et la main fine est vive, alerte, souple, intelligente, féminine. Oui, sans doute, il reste de la femme dans cet homme-là. Heureusement. 
Oui, Hitler est bon. Regardez-le au milieu des enfants, regardez-le penché sur la tombe de ceux qu’il aimait, il est immensément bon et, je le répète : bon, avec la conviction parfaite que cette affirmation scandaleuse n’empêchera pas les délicieux, les incomparables raisins français de mûrir sur les coteaux de Beaugency. 
Dans le monde, se forme en ces jours un mouvement dans lequel s’exprime tout l’essentiel du christianisme : l’oubli de soi-même, le sacrifice de soi-même. Le national-socialisme fut un jaillissement religieux. » 
(extraits de La Gerbe des Forces, 1937)



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