herve_hum 20 juillet 2014 00:38

maQiavel,

en lisant ton article, j’ai fais la même conclusion que toi.

- Savoir concilier les contraires en discernant leurs mariages possibles,

- Etre vertueux chez soi,

- Etre vicieux chez l’ennemi.

Moi, je me demande qu’est ce qui se passe si d’aventure les deux ennemis sont aussi vertueux l’un que l’autre, ou bien le contraire, vicieux ?!

La tactique reste la même et c’est celui qui sait avoir un temps d’avance sur l’autre qui gagne. Donc, du plus habile et rusé, peu importe qu’il soit bon ou méchant !

Parce que fondamentalement, ce qui sublime la force morale d’une armée, est sa foi en son chef. Tout ce que décrit Sun Tzu, repose sur la condition préalable et inconditionnelle, la foi dans le chef qui vous mène au combat. Gagner ou perdre, n’est pas la condition pour le soldat parce qu’il ne maîtrise pas ces données là. La seule chose qu’il a besoin, c’est de penser que celui qui maîtrise ces données là, soit la bonne personne, la meilleure, la plus habile et rusé. Qu’il le soit en réalité ou non est secondaire ... Tant qu’elle (la réalité) n’apparaît pas négative !


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