Emile Mourey 19 juillet 2014 11:42

Article intéressant que j’étudierai cet hiver car, en été, je suis occupé par mes travaux manuels de restauration de ma propriété historique


Ce qui ne fait pas de doute, c’est que nos stratèges sont toujours en retard d’une guerre. Mao-Tsé-Toung, Clausewitz, etc, la Bible, le Coran, la Sirah du Prophète, tout cela est dans le domaine public et permet d’exercer sa réflexion et de débattre, mais quand je demande au sommet de la hiérarchie de définir clairement l’ennemi actuel, à savoir l’islamisme radical, bouche cousue. Soit ! Si j’ai quitté l’armée après vingt cinq ans de services très actifs, c’est, en grande partie, parce que cela ne m’interessait plus de participer à de grandes manoeuvres contre "l’ennemi rouge" et que j’avais compris que c’est par la plume et sur le front des idées qu’allaient se mener les prochains combats.

À M. l’auteur. Quel est le point faible de l’islamisme radical ? Réponse évidente : c’est son interprétation erronnée des textes fondateurs de l’islam. Quelle est la mauvaise stratégie ? Réponse : celle de Charlie Hebdo qui ne fait que le renforcer. Mahomet était un chef de guerre, ni meilleur ni pire que les chefs de guerre occidentaux de cette époque, et peut-être même parfois meilleur quand il s’opposait à la barbarie et à la sauvagerie de ses troupes.

Mais Mahomet a-t-il vraiment existé comme on se l’imagine ?



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