ffi 16 juillet 2014 22:05

Un lézard est un lézard.

On peut très bien imaginer que les espèces aient une certaine variabilité physique qui leur permette de s’adapter à des conditions naturelles variées (par exemple : l’homme a la peau qui bronze au Soleil). Il faudrait voir si ces caractères acquis sont transmissibles, s’ils sont réversibles, et leur étendue. Cela fait un peu Lamarckisme. Cela pourrait être très intéressant à étudier.
 
Mais on ne peut pas induire de l’existence d’une petite variation à l’intérieur d’une espèce la possibilité de création d’une espèce à long terme.
 
Pour le métissage, personne ne dira que ça produit une nouvelle espèce, mais on parlera de nouvelle variété pour les végétaux, ou de nouvelle race pour les animaux (et pour les hommes on ne dira rien, c’est interdit).
 
C’est toujours à cela qu’a aboutit la sélection faite par les hommes :
- des variétés d’une espèce végétale.
- des races d’une espèce animale.
Mais cette sélection n’a jamais aboutit à une nouvelle espèce.


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