Éric Guéguen
20 novembre 2013 12:55
"Toutefois, il est difficile de s’exercer à ce travail quand on est en
face de Finkiel qui est obsédé par la mémoire, le passé et son
histoire."
Je vous paraît névrosé ? Pourtant j’écoute Finkielkraut (presque) tous les samedis. Et je connais ses limites. En feuilletant son dernier livre, par exemple, j’ai eu l’impression d’une sécheresse intellectuelle. Il radote et s’empêche parfois beaucoup de choses, par dogmatisme, j’en suis certain. Mais il compte à mes yeux dans le paysage... tant que l’on n’aura pas droit à mieux... Et face à Wieviorka, à Hazan ou à Rosanvallon, face à Badiou ou à Benbassa, il faut au moins ça.
Bonne journée,
EG
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