Lord Volde lord volde 20 novembre 2013 12:16

Je cite ta source préférée (wiki) pour illustrer la pensée moisie du célèbre défenseur de Roman Polanski dans l’affaire de viol aggravé d’une mineure de 13 ans aux moyens de drogues et d’alcool par personne ayant autorité.

Dans sa critique de la modernité, Alain Finkielkraut s’en prend au communautarisme, qui menace la société quand l’idéal de l’universalité se délite. Ses prises de position fustigent le communautarisme musulman, et un regain d’antisémitisme qu’il y associe, propos qui ont déclenché des controverses. En 2002, Alain Finkielkraut dit : « Le voilà le vrai choc des civilisations : l’Occident vit sous le régime de la critique, et le monde musulman - élites laïques comprises - sous celui de la paranoïa30. » La même année, le sociologue Daniel Lindenberg dans Le Rappel à l’ordre : enquête sur les nouveaux réactionnaires l’accuse d’être un « néo-réactionnaire31 ». L’ouvrage de Daniel Lindenberg est vivement dénoncé par les personnes qu’il vise32 ainsi que de nombreux intellectuels qui pointent le manque de rigueur de la notion de « nouveaux réactionnaires » elle-même.

Le 24 mai 2002, Alain Finkielkraut commente l’ouvrage de la journaliste italienne Oriana Fallaci, La Rage et l’Orgueil, au contenu très polémique et hostile aux musulmans, en ces termes :

« Oriana Fallaci a l’insigne mérite de ne pas se laisser intimider par le mensonge vertueux. Elle met les pieds dans le plat, elle s’efforce de regarder la réalité en face. Elle refuse le narcissisme pénitentiel qui rend l’Occident coupable de ce dont il est victime. Elle prend au mot le discours et les actes des adversaires. Mais, comme elle en a gros sur le cœur, elle va trop loin. Elle écrit avec des Pataugas. Elle cède à la généralisation. Elle ne résiste pas à la tentation d’enfermer ceux qu’elle appelle les fils d’Allah dans leur essence mauvaise. C’est ce qui permettra à la vertu de reprendre la main et à Télérama de dénoncer la lepénisation des esprits dans une Europe contaminée par le « virus » populiste. »

La position d’Alain Finkielkraut déclenche une polémique : Le Monde diplomatique l’accuse de faire le lit de l’islamophobie et d’être un « réactionnaire ». Le philosophe précisera ensuite qu’il estime qu’Oriana Fallaci « succombe au racisme » et que lui-même n’est pas l’ennemi des musulmans.


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