La prise de position de la Norvège sur la question palestinienne en particulier et, en général, sur des questions internationales, a à peu près autant de poids que celle de la Moldavie ou du Swaziland.
La réalité est que, comme tous les "paradis", la paisible Norvège est à peu près aussi trouble que la tranquille Suisse. Bon nombre de ses bureaucrates et de ses politicards appartiennent à des loges et, pour certains d’entre eux, à des organisations encore plus glauques que la franc-maçonnerie. Le satanisme, en particulier, semble plaire à certains notables. Des méthodes dignes de l’ex-URSS sont employées pour lutter contre ceux et celles qui s’aviseraient d’aller contre le "consensus" mou de ce très bon élève du marxisme nordique qu’est la Norvège. L’internement en hôpital psychiatrique n’y est pas extrêmement rare, en particulier pour les personnes parfaitement saines d’esprit, mais qui ont le courage de vouloir révéler ce qu’est vraiment la Norvège.

"Synnove Fjellbakk Tafto, ancienne avocate du ministère des Affaires étrangères en Norvège, et dissidente politique, a été hospitalisée de force pour la cinquième fois et s’est vue administrer un traitement psychiatrique quelques jours après la publication d’un article “subversive”. Internée et obligée de prendre un « traitement » psychiatrique pour un article subversif ? Imaginez si madame Tafto était chinoise ou iranienne. Depuis 1994, comme le rapporte Ron Paul, le député républicain US, madame Tafto accuse les dirigeants de son pays d’avoir trahi la nation en adoptant des accords anticonstitutionnels visant à contourner l’opposition de la population." (Taflo avait découvert ce que tout le monde sait maintenant : à savoir que la politicardie norvégienne a signé tellement de traités avec l’Ue que, de facto, la Norvège est devenu un membre de l’Ue) http://www.lavoixpeuhle.info/2011/03/23/l%E2%80%99occident-et-ses-prisonniers-d%E2%80%99opinion/

Peu de temps avant le premier internement de Taflo, un Maghrébin avait poignardé cinq personnes à Oslo. Il venait d’être relâché d’un hôpital psychiatrique. Motif - asseyez-vous - : "plus de place dans les hôpitaux psychiatriques de la région".