tchoo 22 mai 2011 09:53

Il ne faudrait pas se tromper : une victime même si elle n’ose pas parler et se plaindre reste une victime.
Il y a deux choses dans la démarche de ce plaindre d’un abus :
-un effort su soi-même pour se mettre en scène et s’obliger à revivre et répéter son traumatisme alors qu’on veut bien souvent l’oublier au plus vite. Les interrogations obligatoires sur soi-même qu’il faut affronter et bien souvent exposé à autrui en prenant le risque que l’autre ne comprenne pas (et ne parlons pas de la presse) avec bien souvent ses propres incompréhension.
-et la peur de pas être cru(e) et d’en subir les conséquences soit un nouveau trauma supplémentaire qui amplifie le premier.

Alors aulieu de juger cette femme journaliste, écoutons ce qu’il dit révélateur d’une certaine ambiance sociétal à certain niveau.


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