therasse 2 avril 2011 09:44

"Cinq états punissent les apostats de mort : l’Arabie Saoudite, l’Iran, la Mauritanie, le Soudan et la Malaysie. Heureusement la peine n’est pas souvent appliquée grâce à la pression internationale. La nature de l’exécution est laissée à la discrétion de l’imam (ou du juge) : décapitation, pendaison, crucifixion."


Ici, il ne s’agit plus de discussions de salon, mais bien de ce qui se passe sur le terrain.
Par ailleurs, des sondages réalisés un peu partout dans les communautés musulmanes, dont un à Londres, révèlent qu’un pourcentage important de fidèles souhaitent appliquer la peine de mort à l’apostat.
Enfin, les crimes d’honneur à l’encontre de jeunes gens qui se sont écartés de la tradition ne sont-ils pas l’image même de l’intolérance de cette religion sectaire ?

Situation dans quelques pays musulmans :

A noter que le délit de prosélytisme assorti d’une peine de prison dans l’un des pays musulmans parmi les plus softs, le Maroc, montre bien que la tolérance religieuse est un vain mot en "Islamie". Car qui dit prosélytisme ne fait qu’évoquer le débat, la discussion avec en filigrane une tentative de convaincre ; mais en tous cas rien de violent ou de coercitif qui mérite la prison. 

A propos, les prières de rue ostentatoires, n’est-ce pas une forme de prosélytisme ?

Le mariage d’UN musulman autorisé avec une infidèle alors qu’une femme musulmane ne bénéficie pas de la même liberté, cela ne participe-t’il pas d’une même volonté expansionniste que le prosélytisme ? 

Les musulmans feraient bien de cesser d’utiliser le mot fasciste à l’égard de ceux qui dénoncent leurs versets haineux et leurs coutumes anti-droitdel’hommistes, car on serait volontiers tentés de leur retourner le compliment. 



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