@christophe nicolas
Que l’État Islamique soit né dans les geôles étasuniennes n’implique pas forcément une implication directe de l’Occident dans cette affaire.
Ce qu’il faut voir, c’est qu’il y a une dizaine d’années, Poutine n’était pas obligé de revenir au premier plan du pouvoir russe. Il l’a fait car il n’a pas supporté qu’en son absence Mouhamar Kadhafi se fasse éliminer et que la Libye soit détruite.
Il est donc revenu, et lorsque Bachar El Assad s’est fait attaquer, il a apporté l’aide russe pour infliger des revers à l’État Islamique.