Miriam Cahn ne décrit pas le dramatique ni le tragique de la guerre dans ses peintures, c’est une militante d’un "art contemporain" montrant le vulgaire, la perversion et les fantasmes sadiques de dégénérés porno-pédophiles.
Elle trouve là un prétexte pour exposer dans un musée ses obscénités perverses,
c’est une habituée du genre.