j’ai tant
pratiqué le flux et reflux de la fantaisie féminine, en bikini,
qui abordent
invariablement quelque banc de sable isolé,
au milieu
d’autres couples romantiques, au clair de lune...
que j’en ai
attrapé un invraisemblable mal de mer,
accompagné
d’une éruption de lunettes noires à chaque pleine lune.
Je trouve,
mesdames, votre imagination bien terre à terre !
Roucouler sous
la lune...
Et pourquoi pas
dessus ?