La véritable raison de la fuite de Robin en Polynésie : s’il était resté en métropole, il ne se passerait pas une journée sans qu’il croise une de ses cibles (la liste est interminable : Soral, Papacito, Cassen, Philippot, Asselineau, etc.) Et là, le gros nounours dégoulinant de transpiration dans sa chemise tahitienne serait obligé de courir très très vite...
Donc vive le Pacifique ! Bénis soient les 17000km !