Autrefois on avait des optimistes,et des pessimistes, tous satisfaits, qui le plus souvent s’ignoraient comme tels.
Aujourd’hui, nous avons des anti-optimistes (peur de l’espoir) opposés à des anti-pessimistes (peur du désespoir).
La nuance est de taille, car elle introduit par le truchement ce la peur une composante hargneuse, (davantage perceptible chez les anti-optimistes ?).
Pour ma part, je suis convaincu que nous n’allons pas tous en crever...