
Arrêtons un moment avec des féministes sans famille, sans conjoint masculin, sans enfants, sans parents... des féministes finalement comme hors-sol, a-sociales, en rupture depuis leur adolescence... Le meilleur du féminisme, vous l’avez là sous vos yeux avec MeToo, dans la libération de la parole des femmes qui côtoient des hommes (de pouvoir symbolique ou réel... principalement) car... rien ne changera si les femmes continuent de se taire pour ne pas mettre en danger leur carrière professionnelle (politique, journalisme, cinéma et mannequinat) car rien ne modifiera le comportement de ces prédateurs adeptes du harcèlement et de l’agression sexuels s’ils ont la quasi certitude que la victime se taira : pour chaque femme qui se tait, ce sont des dizaines d’autres que l’on condamnent au harcèlement et à l’agression ; comme on peut le voir, la balle est dans le camp des femmes, non des hommes. Et ce féminisme-là, capable d’expliquer ça aux femmes, c’est le féminisme dont on a besoin aujourd’hui ; un féminisme aux fins de responsabiliser chacune d’entre elles face à ce fléau sans aucun doute tout aussi important que la pédophilie des réseaux "mondains".
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