N’en doutons pas,
— pour de nombreux journalistes des médias dominants,
— pour la fausse Gauche parmi lesquels de nombreux enseignants et magistrats,
— pour les maires de droite des grandes villes qui tiennent à avoir leur grande mosquée indispensable au maintien de leur pouvoir personnel,
— pour, surtout, les actuels gouvernants du pays...
le discours, comme après les massacres de Charlie Hebdo et du Bataclan restera celui-ci :
l’important, c’est de continuer à répandre et cultiver le nouveau négationnisme affirmant que l’islam n’est pas violent.