
« … Sans vouloir excuser en aucune manière ses crimes, et en les condamnant totalement à nouveau, il faut réaliser que le féminisme en particulier, […], génère des conséquences dramatiques sur l’être humain, comme les esprits les moins obtus peuvent le constater depuis longtemps. »
Monsieur Jean Robin ne connait rien au féminisme, rien à la psychologie masculine et féminine, et encore moins à la Nature humaine.
Du reste, l’histoire de l’hypothèse de Jean Robin est l’histoire de toutes les hypothèses. Un jour, un homme observe, il s’arrête, il regarde, il s’étonne, il cherche, puis il se fait à lui-même une réponse quelconque : c’est une hypothèse.
Elle pourrait être juste, mais elle est, presque toujours, fausse, parce que les lois de la Nature sont cachées, complexe, et que, pour les connaître, il faut de longues études ou une inspiration extraordinaire, éclose, soudain, dans une tête de génie.
Tel n’est pas le cas de Monsieur Robin.
Rappelons aux hommes de mauvaises
foi, aux ignorants, à tous les misogynes, mais aussi aux autres qu’à l’époque
reculée où l’homme n’avait encore pour mœurs que ses instincts, on avait
remarqué combien sa nature le portait à l’opposition, à la contradiction, à la
domination.
C’est pour enrayer ses mauvais instincts que les Mères instituèrent une
discipline élémentaire qui est toujours restée depuis dans la société, et qu’on
désigne encore par les mots « éducation », « convenance », « savoir-vivre », «
manières comme il faut ».
C’est cette retenue des mauvais instincts qui fut d’abord la Religion. La
connaissance que l’on avait des lois qui régissent la nature humaine avait fait comprendre que l’homme doit être discipliné,
« apprivoisé », pourrait-on dire, afin de pouvoir vivre dans la société des
femmes, des enfants et même des autres hommes.
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