Il semble que la décision de justice ait pris en compte un doute sur l’age de la fillette. Sur ce point, je m’étonne qu’il n’existe pas de moyen d’établir de manière fiable l’âge biologique réel (autre que l’apparence physique ou la puberté). Entre 11 ans et 15 ans, la différence est de plus de 35%, les méthodes osseuses et dentaires devraient permettre une meilleure précision.
Quoiqu’il en soit, le principe d’un âge de validité du consentement fixé à 15 ans me parait judicieux, mais n’est-ce pas un sujet qui devait se traiter au niveau international, ou en tout cas européen ?