jean mouche jean mouche 14 décembre 2015 20:23

 C’est plein de bons sentiments mais si vous pouviez éviter de me péter mon bizness avec une idéologie balourde.
parce que à regarder dans le détail, il n’existe pas un métier sans contradictions et qui finalement est néfaste.
 Boulanger : empoisonneur travaillant au gluten et fabriquant d’obèse
instit : laveur de cerveaux de bambins
Boucher : massacreur sadique de vertébrés
Policier : Sadique ayant décider de vivre par la matraque.
médecin : vendeur de pilules, pratiquant des expériences pour prolonger au maximum les derniers jours d’agonie du malade.
Chauffeur routier : pollueur
Cheminot : découpeur de territoire qui empêche la libre circulation animale, droit fondamental si il en est.
Maître nageur : sauve de la noyade un futur meurtrier de masse.
Laveur de carreaux, femme de ménage : pollueur au détergents.
fabriquant de jouets : disséminateur de plastique sur les gouffres amers.
Pompier : gaspilleur d’eau potable, aux bruyantes sirènes.
Jardinier amateur : épendeur de glyphosate à 110 fois la dose, balance de la cyperméthrine comme un possédé et tue 100 000 invertébrés pour sauver 3 boutons d’une rose ultra commune.
Explorateur : Eclaireur du colonialisme
Policier, Juges, soldats, j’en passe et des meilleurs (bons sentiments).

 Et vous même, quelles exactions pratiquez vous au quotidien ?

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contribution d’un ami de passage, un peu nihilliste pour moi, mais assez intéressant.

Le Mandarum

Et d’où vous vient ce besoin de faire acte de foi en une dychotmie entre le bien et le mal, nous situant par essence dans le bien, nos dérives actuelles n’étant que cela, des dérives ?

Je vous crois bien présomptueux jeune homme, drapé de votre logorrhée bienveillante (et qu’importe la réelle nature de vos actes).
Pourquoi la place des hommes ne serait pas d’anéantir cette planète ? Si l’on considère l’échelle galactique (ou je vous le rappelle l’espace et le temps s’expriment en des termes qui nous dépassent) nous sommes pour bien peu dans l’ordre des choses, quelque soit notre part dans les désordres de la terre.

Il est difficile d’être "en vérité" avec soi-même, encore moins avec le cadre de notre existence dont nous ignorons l’essentiel... Désolé de vous laisser à ce à quoi vous, moi, nous tous appartenons, le néant.

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