gerfaut
15 juin 2015 13:00
Au Japon, le chauffeur est en gants blancs et les clients peuvent lui mettre des notes qu’ il ne peut traffiquer, on peut les consulter avant de monter dans le taxi et s’ il a trop de mauvaises notes, on lui dit au revoir. C’ est pareil dans d’ autres pays d’ Asie.
Franchement, les touristes quand ils arrivent à Paris, ils hallucinent. Entre les odeurs de kébabs, les chauffeurs agressifs et malpolis, il y a de quoi faire. Un chauffeur a même demandé à une amie d’ écarter les cuisses pour mater. Les monopoles, c’ est l’ horreur, les gens se croient tout permis.
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