Si un cheval était aussi malade que l’islam, on ne s’acharnerait pas à essayer de le guérir ; on mettrait fin aux souffrances de la pauvre vielle bête.
Plus sérieusement : deux soi-disant partisans de réformes que déclarent d’emblée qu’ils ne contestent pas l’authenticité des textes.
Alors que de toute évidence, c’est par cela qu’il faudrait commencer. Essayer de trouver les sources du coran dans l’abondante littérature religieuse araméenne de l’époque (du moins dans ce qui en reste, parce que les califes ont mis tout en œuvre pour effacer toutes traces de leur plagiat).