SONIA SONIA 2 décembre 2015 18:15

Les Scandales au sein de la protection de l’enfance restent sous silence,

Le scandale de placement un phénomène qui Touche 34000 enfants placés par Ans, et portant ça se passe inaperçu e France,

50% des placements d’enfants et abusif pourraient être évités

Le Conseil de l’Europe s’inquiète « les services sociaux placent des enfants de manière inconsidérée »

 

Les Scandales au sein de la protection de l’enfance reste sous silence, plus grave encore, rien n’est fait pour y remédier et améliorer les méthodes des travailleurs sociaux, et « les associations entreprises » dissimulé derrière la bannière de la protection de l’enfant en récoltent des gros bénéfices chiffrés a des milliards d’euros par an,

le conseil de l’Europe commence à s’intéresser de près aux placements abusives d’enfants de manière inconsidérée et d’ailleurs une alerte avait été lancé par la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme CNCDH en 2013, ainsi que par l’IGAS l’Inspection Général des Affaire Social en en 2001, 2007 et 2012, donc 50% des placements d’enfants pourraient être évités ; ressources : comité CEDIF publier le 03 09 2015 : (https://comitecedif.wordpress.com/category/interpellations/ ),

Les signalements vengeurs, des enquêtes bafouées et orienté de mauvaise foi, pour aboutir aux placements d’enfants qui rapporte GROS, des professionnels en grand nombre qui savent mais se taisent,

 (Monsieur Philippe SEGUIN avait dénoncé dans son rapport de la Cour des Comptes, la chasse à l’enfant des Services Sociaux en 2009)

LES CONSÉQUENCES du PLACEMENT ABUSIF : 

Une étude ressemant faite par l’INSEE, indique clairement un lien entre le placement d’un enfant en famille ou foyer d’accueil et une forte probabilité pour celui-ci, dans l’avenir, de devenir un SDF.

Chaque année, 34000 enfants placés, 50% d’entre eux risquent de devenir SDF. Ils passeront du statut de “placés” à celui de “sans domicile fixe”

Ce qui porte l’Inspection général des Affaire Social l’IGAS à constater que : « dans beaucoup de cas de placement, l’intervention sociale ne permet pas le retour à un équilibre personnel, à des liens familiaux épanouissants et formateurs et à une réussite scolaire ou à une insertion professionnelle durable. »

Des DESTTINS GACHES

Parmi les exemples cités de tels parcours, celui d’un enfant placé en maison d’enfants à l’âge de 5 ans, puis mis en famille d’accueil à 11 ans, envoyé ensuite en foyer de 13 à 14 ans. Le foyer ne lui convenant pas, il est jusqu’à ses 15 ans ballotté d’établissements en établissements pour des périodes allant de 3 jours à 3 mois, puis en centre éducatif renforcé. À 17 ans, il se retrouve incarcéré pendant 3 mois, retourne en centre éducatif fermé, est pris en charge pour des soins psychiatriques !!! (Alor : un enfant normale de 5ans, modelé en visiteur des pénitenciers, et fin un malade mental), 

 

CONSTAT

Un taux de placement au plus haut

Selon la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH), en 2013, pas moins de 273 000 enfants en France sont l’objet de mesures de protection mises en place par les services dit de « la protection de l’enfance », parmi eux 143 000 sont placés hors du cercle familial. Le taux de placement en France ne cesse d’augmenter, il n’a jamais été plus élevé toutes époques confondues et est sans commune mesure avec les autres pays européens.

Ainsi l’arrachement d’enfants à leur famille est devenu en France un véritable phénomène de société.

LES CAS de PLACEMENTS ABUSIFS

Les services sociaux de la « protection de l’enfance » entendent se prévaloir d’une légitimité par volonté affichée de prévenir les maltraitances. Pourtant la chronique judiciaire s’est faite l’écho de très nombreux cas dans lesquels les services sociaux sont restés sans réaction et dans l’impunité alors que des enfants mourraient de privations de soin et de maltraitances.

A contrario, les scandales peu médiatisés autour de placements d’office, montrent aussi que les services sociaux peuvent devenir l’instrument du malheur des enfants, à coups d’interventions maladroites et quelquefois mal intentionnées.
D’ailleurs, ainsi que le reconnaît Monsieur Pierre Naves, Inspecteur Général des Affaires Sociales (l’IGAS), la moitié des placements décidés ne se justifient pas.

 Merci A Mme La Présidente de l’association VIOLETTE JUSTICE,

Ressources : comité CEDIF publié le 03 09 2015 : (https://comitecedif.wordpress.com/category/interpellation

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