Merci infiniment @ Raphaël Berland & au cercle des volontaires pour le partage.
Décidément, partout où cela pue le Mal absolu on trouve la trace nauséabonde de ses monstres.
Mais il n’est rien d’éternel sous et dans le soleil et le poète a toujours raison :
. . . Quoi toujours ce serait par atroce marché
Un partage incessant que se font de la terre
Entre eux ces assassins que craignent les panthères
Et dont tremble un poignard quand leur main l’a touché
Un jour pourtant, un jour viendra couleur d’orange . . .