ffi 13 octobre 2014 14:36

L’analyse est intéressante, cependant il me semble qu’il a trop d’appétence pour l’individualisme pour entrevoir la solution logique.
 
L’universel (le général) est le niveau collectif.
Le particulier est le niveau individuel.
 
L’universel doit obliger le particulier à la nécessité et lui interdire l’impossible.
L’universel peut éventuellement souscrire aux exigences particulières, si elle ne sont pas impossibles.
 
Le droit du particulier (de l’individu) est subalterne au droit universel (de la société).
 
Le droit universel (de la société) ne peut souffrir de contradiction et suit une modalité de nécessité, tandis que les droits particuliers (des individus) suivent une modalité de contingences (liées aux volontés des individus en leur situation) et donc doivent pouvoir présenter diverses déclinaisons. De plus, entre une universalité à 50 millions et des individualités uniques, de petites universités intermédiaires ne nuiraient pas.


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